Au début des années 2000, les banques ont entraîné des milliers de collectivités dans des emprunts toxiques dont celles-ci continuent de faire les frais.
Ah, la libéralisation du secteur bancaire, la financiarisation de l’économie ! Et ce produit miracle développé par les banques : le prêt structuré. Certes, il a la particularité d’être indexé sur des indices de marchés volatils, tel que les matières premières ou les taux de change, mais les banques rivalisent d’ingeniosité pour emballer l’affaire. La plupart de ces prêts débutent par plusieurs années à taux nul ou très attractif, avant que le mécanisme de variabilité ne s’applique. La banque Dexia va ainsi jusqu’à baptiser son offre « Tofix » […]

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