En pleine préparation de la réglementation environnementale 2020 du bâtiment, l’administration a transmis une « note de cadrage » aux acteurs du secteur. Des considérations apparemment techniques créent l’avantage aux solutions électriques (peu efficaces) par rapport aux autres sources d’énergie pour chauffer les futurs bâtiments.
L’élaboration de la future réglementation environnementale 2020 du bâtiment réactive l’éternel bras de fer entre partisans du chauffage au gaz et défenseurs de l’électrique, caricaturés par les premiers sous l’appellation de « gang des grille-pain ».
Dans une « note de cadrage » communiquée aux acteurs du secteur avant une réunion, le 11 avril, la DGEC aborde la révision du coefficient énergétique de l’électricité ainsi que la méthode de calcul des émissions de carbone induites. Deux sujets aussi indigestes que cruciaux […]
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